Le Cirque Alfonse s’est construit autour du désir de collaboration entre membres d’une même famille et avec des amis, mais surtout dans un désir de perpétuer une tradition de cirque familial itinérant, dans une version contemporaine, qui ne renie pas toutefois nos racines québécoises.

C’est à partir d’un noyau composé d’Antoine Carabinier et Geneviève Gauthier, artistes de cirque, Julie carabinier, interprète en danse contemporaine et Alain Carabinier, vieil artiste dans l’âme, que s’est construit le Cirque Alfonse.

Née en 2005 dans la région de Lanaudière au Québec par la famille Carabinier-Lépine et leurs amis proches, la compagnie crée son premier spectacle en 2006 avec La Brunante.

Avec la collaboration d’Alain Francoeur, metteur en scène, et Nicolas Descoteaux, concepteur éclairagiste, les numéros de cirque prennent vie en danse et en jeu, dans l’idée de faire revivre les veillées de musique traditionnelle en cuillers, gigue et claquette où toute la bastringue s’en donne à cœur joie. L’aventure commence!

Notre désir le plus cher était de présenter ce spectacle en région et particulièrement dans notre village, Saint-Alphonse-Rodriguez. En s’alliant à notre municipalité, à son conseil des arts et grâce à des partenariats avec des gens de la région, nous réussissons à monter le chapiteau et à y présenter La Brunante en septembre 2006. L’été suivant, c’est au Village québécois d’antan que nous présentons ce spectacle sous chapiteau.

Après avoir parcouru d’autres horizons, Le Cirque Alfonse est de retour en 2010 avec son spectacle Timber!, qui réunit à nouveau le clan Carabinier Lépine et ses collaborateurs. Ils s’inspirent à nouveau du patrimoine québécois : les camps de bûcherons pour créer le spectacle. Le succès de cette création originale ne se dément pas depuis, avec plus de 250 représentations dans 13 pays.

Le clan du Cirque Alfonse crée son troisième spectacle en 2014; BARBU foire électro trad, dans une formule cabaret inventif et déjantée. Timber! Revisitait l’univers des camps de bûcherons; BARBU s’inspire plutôt des foires d’antan. L’histoire est, de nouveau, revisitée.